Le saviez-vous ?

5 étapes pour booster vos campagnes grâce à la réalité mixte (AR/VR)

  1. Définissez deux parcours immersifs distincts
    Créez un scénario 100 % virtuel via un casque VR (ex. Meta Quest 3) et un autre en réalité augmentée via des lunettes connectées (ex. Nreal Air) pour superposer des éléments marketing au monde réel.
  2. Créez les expériences avec les bons outils
    Utilisez Spark AR Studio (Meta) ou 8thWall pour l’AR, et Unreal Engine ou Unity pour la VR. Ces outils permettent une création rapide et personnalisée de contenus immersifs.

  3. Lancez un test A/B immersif
    Soumettez vos deux expériences à un panel ciblé. Mesurez l’impact émotionnel, l’engagement et l’interaction utilisateur selon le dispositif utilisé.

  4. Analysez les KPI immersifs
    Surveillez des indicateurs clés comme : temps moyen d’interaction, taux de clics, taux de conversion, feedback qualitatif. La VR peut améliorer la mémorisation de 275 % selon PwC.

  5. Adaptez votre stratégie marketing
    Réutilisez les formats les plus performants dans vos campagnes. Dans un marché immersif estimé à 427 Mds€, une stratégie testée et optimisée est un levier d’avance.

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Les casques VR et les lunettes AR incarnent deux approches immersives qui redéfinissent notre quotidien numérique. Avec l’arrivée du Meta Quest ou du Vision Pro d’Apple, la réalité virtuelle gagne du terrain, alors que le marché combiné AR/VR pourrait atteindre 427 milliards d’euros.

La VR plonge l’utilisateur dans un monde simulé ultra-immersif, favorisant concentration, rétention et apprentissage actif. À l’inverse, la réalité augmentée (AR) enrichit le réel sans l’occulter, idéale pour des usages contextuels et ludiques.

Homme portant un casque VR et tenant des manettes, en pleine immersion dans un jeu en réalité virtuelle.

AR vs VR : deux visions du jeu vidéo

La réalité augmentée (AR) et la réalité virtuelle (VR) incarnent deux façons opposées de vivre le jeu vidéo. L’AR enrichit le réel, tandis que la VR vous en détache pour vous immerger dans un monde totalement simulé. Ces technologies immersives redéfinissent l’interaction ludique en 2025.

AR : enrichir le réel avec des éléments numériques

Contrairement à la VR, l’AR superpose des éléments virtuels (sons, objets 3D, infos) à votre environnement. Accessible via smartphone ou lunettes connectées, elle favorise des expériences contextuelles et sociales. Pokémon GO en est un exemple emblématique.
Ses avantages : grande accessibilité, interaction collective, intégration dans le quotidien.
Ses limites : immersion moins profonde, qualité variable selon les appareils.

VR : plonger dans un monde entièrement virtuel

La VR vous immerge totalement dans un univers numérique à 360°, via un casque dédié. Vous n’êtes plus spectateur, mais acteur de l’expérience (ex. Half Life Alyx, Beat Saber). Elle se distingue par un engagement émotionnel fort et des interactions physiques poussées.
Points forts : immersion totale, narration intense, sensations physiques.
Points faibles : coût élevé, équipement encombrant, risque de cybersickness.

Deux personnes assises avec des casques VR et manettes, en pleine expérience de jeu en réalité virtuelle.

Choisir son équipement : critères techniques et pratiques

Poids, champ de vision et autonomie

Le confort d’utilisation constitue un facteur déterminant dans le choix d’un dispositif immersif. Le poids et sa répartition influencent directement la qualité de l’expérience, notamment lors des sessions prolongées. Les casques comme le Pico 4, avec sa batterie positionnée à l’arrière, offrent une meilleure distribution du poids sur la tête. Par ailleurs, l’ajustement ergonomique – via molette de réglage ou sangles adaptables – s’avère essentiel pour éviter toute pression excessive sur le visage.

Le champ de vision (FOV) détermine l’étendue de l’environnement virtuel visible simultanément. Mesuré en degrés, il varie considérablement selon les modèles : de 96° pour le Meta Quest 3S à 140° pour le Pimax Crystal. Un FOV plus large augmente significativement l’immersion en se rapprochant davantage de la vision humaine naturelle.

Quant à l’autonomie, elle constitue souvent le talon d’Achille des dispositifs immersifs. La plupart des casques autonomes n’excèdent pas 3 heures d’utilisation continue. Certains modèles innovants, comme le HTC Vive Focus Vision, proposent néanmoins des batteries échangeables à chaud, permettant des sessions ininterrompues.

Casque virtuel ou lunettes connectées ?

Le choix entre casque VR et lunettes AR dépend fondamentalement de l’expérience recherchée. Les casques VR vous isolent complètement du monde extérieur, projetant une image en 3D qui suit vos mouvements. Ils existent en trois catégories principales :

  1. Casques autonomes (all-in-one) : équipés de leur propre processeur, ils fonctionnent sans connexion à un ordinateur, offrant une liberté de mouvement totale avec une résolution généralement inférieure aux modèles PC.
  2. Casques pour PC : connectés par câble à un ordinateur puissant, ils proposent une qualité d’image supérieure et accèdent à la plateforme SteamVR, offrant le catalogue de jeux le plus complet.
  3. Casques pour console : comme le PlayStation VR2, ils se connectent à une console compatible et offrent une expérience optimisée pour des jeux spécifiques.

Les lunettes connectées, quant à elles, superposent des éléments numériques à la réalité, permettant de rester conscient de son environnement. Plus légères et discrètes, elles conviennent davantage aux usages quotidiens prolongés.

Accessoires indispensables pour une expérience optimale

Pour maximiser l’immersion, certains accessoires se révèlent particulièrement précieux. L’interface faciale, point de contact direct avec le visage, mérite une attention particulière. Des modèles comme l’AMVR proposent des mousses amovibles en cuir synthétique ou en tissu doux, garantissant confort et ventilation.

Une batterie externe constitue un investissement judicieux pour les sessions prolongées. Certaines sangles ergonomiques intègrent d’ailleurs directement cette fonctionnalité, comme celle de Kiwi Design, tout en améliorant la répartition du poids.

L’aspect sonore joue également un rôle crucial dans l’immersion. Bien que la plupart des casques intègrent un système audio, des solutions dédiées comme le casque Logitech G Pro VR enrichissent considérablement l’expérience. Enfin, pour les porteurs de lunettes, des lentilles de prescription spécifiques évitent l’inconfort lié au port simultané de lunettes et de casque VR.

Paysage urbain futuriste en néon avec buildings lumineux et connexions numériques dans un univers virtuel.

L’impact sur l’expérience immersive du joueur

Au cœur des technologies immersives se trouve l’expérience sensorielle du joueur, véritable baromètre de l’efficacité des dispositifs AR et VR. Cette dimension, souvent négligée dans l’analyse technique, détermine pourtant l’adoption à long terme de ces technologies. Comment les casques VR et lunettes AR transforment-ils fondamentalement notre rapport au jeu vidéo?

Interaction avec l’environnement : mains, voix, manettes

L’interface entre le joueur et l’univers virtuel constitue un élément crucial de l’expérience immersive. Les casques VR proposent généralement trois modalités d’interaction complémentaires. Premièrement, le hand tracking permet d’utiliser directement vos mains comme contrôleurs naturels, particulièrement adapté aux interactions précises comme la manipulation d’objets virtuels. Deuxièmement, les contrôleurs haptiques transmettent des retours tactiles variés – vibrations, résistances, textures – enrichissant considérablement le réalisme des interactions. Enfin, la reconnaissance vocale, bien qu’encore perfectible, ouvre de nouvelles possibilités narratives.

Du côté AR, l’interaction s’articule davantage autour du toucher sur écran, des mouvements corporels captés par la caméra et de la géolocalisation. Cette approche, moins immersive mais plus intuitive, facilite l’adoption par un public non-initié.

Niveau d’immersion et engagement émotionnel

L’immersion, véritable pierre angulaire de ces technologies, diffère radicalement entre AR et VR. La réalité virtuelle, en isolant complètement le joueur du monde extérieur, génère un phénomène psychologique unique : la “présence“. Ce sentiment d’être véritablement “là”, dans l’univers simulé, amplifie considérablement l’intensité émotionnelle des expériences vidéoludiques – qu’il s’agisse de peur, d’émerveillement ou d’adrénaline.

À l’inverse, la réalité augmentée, en superposant des éléments virtuels au monde réel, favorise un engagement plus contextuel et social. Elle crée des ponts entre fiction et réalité, transformant les espaces quotidiens en terrains de jeu partagés.

Ainsi, tandis que la VR excelle dans la création d’univers immersifs déconnectés du réel, parfaits pour l’évasion totale, l’AR brille par sa capacité à enrichir notre perception du monde tangible, idéale pour des expériences ludiques intégrées au quotidien.

Le choix entre VR et AR dépend de votre style de jeu : évasion totale dans un monde virtuel ou interaction enrichie avec le réel. La VR brille par son immersion narrative, l’AR par sa dimension sociale et accessible.
Autonomie, confort et champ de vision restent déterminants. Avec l’émergence de solutions hybrides, ces technologies redéfinissent déjà l’avenir du gaming.

Tête virtuelle stylisée avec un casque futuriste dans un univers numérique aux couleurs néon